Franceville, Gabon — Une situation inquiétante émerge à Franceville, où Armel Ferryse Ndjegou Mickala, un jeune activiste gabonais engagé, se voit injustement bloqué par des agents de la société de transport ferroviaire SETRAG. Malgré avoir payé son billet en classe affaires, il lui est interdit de remonter à bord du train en direction de Libreville, soulevant des préoccupations majeures quant à la liberté d’expression et la transparence dans le pays.
Armel Ferryse, reconnu pour son activisme et son engagement au sein de la société civile, dénonce ouvertement les abus des dirigeants. Les agents de la SETRAG semblent utiliser sa notoriété comme prétexte pour entraver son déplacement, une pratique apparemment habituelle selon des témoignages recueillis.
L’interdiction de monter à bord, même avec un billet en règle, semble être une manœuvre délibérée pour entraver les activités d’observation de cet activiste dans les trains vétustes de la SETRAG. Cette situation soulève des questions cruciales sur l’abus de pouvoir, la liberté de mouvement et le droit fondamental à la critique constructive.
Les agissements de la SETRAG risquent non seulement de ternir son image mais pourraient également avoir des conséquences négatives sur la confiance du public envers la société de transport ferroviaire. La restriction de la liberté de déplacement d’Armel Ferryse suscite l’indignation au sein de la communauté gabonaise et au-delà, soulignant l’importance de protéger les voix critiques et de promouvoir la transparence.
En attendant un dénouement à cette situation, la société civile et les défenseurs des droits de l’homme appellent à l’intervention des autorités compétentes pour garantir le respect des droits fondamentaux et la justice dans cette affaire.
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